secret de famille cadré - 2013"En intérieur", accrochage au Ryad hotel Marseille - mai, juin 2016 | secret de famille à l'atelier 2011papiers peints | secret de famille à l'atelier 2011papiers peints |
---|---|---|
secret de famille à l'atelier 2011détail papiers peints | secret de famille 2011secret de famille au Baron Perché, restaurant Marseille (Fr) papiers peints | secret de famille 2011secret de famille au Baron Perché, restaurant Marseille (Fr) papiers peints |
secret de famille à l'atelier 2012papiers peints | secret de famille à l'atelier 2012papiers peints | secret de famille à l'atelier 2012détail papiers peints |
petit secret famille Lisbonne 2011dans l'atelier de Sofia Aguiar et Tomas Colaço papiers peints | petit secret famille Lisbonne 2011dans l'atelier de Sofia Aguiar et Tomas Colaço papiers peints | secret de famille Lisbonne 2011dans l'atelier de Sofia Aguiar et Tomas Colaço papiers peints |
secret de famille Lisbonnedans l'atelier de Sofia Aguiar et Tomas Colaço papiers peints | secret de famille Lisbonnedans l'atelier de Sofia Aguiar et Tomas Colaço détail papiers peints | secret de famille 2014encadré papiers peints |
Secrets de famille
depuis 2011
papiers peint, collages, découpages
Des couches de papiers peints au mur, à leur place, qui se superposent et se découvrent.
Le principe est donc simple ; différents papiers peints sont appliqués les uns sur les autres. Par endroits, le papier est découpé ou déchiré et laisse apparaître celui du dessous et ceci sur plusieurs strates.
Une poésie de l’espace, du temps qui coule, des différentes vies des murs, des habitats, des âtres, des choses. Un regard simple posé sur nos décorations murales et nos envies visueles. Sur ce que peut créer « sentimentalement » un motif, en terme de réminiscence, d’au-delà…
« Secrets de famille, nous parle du temps passé et retrouvé. Sur un grand pan de mur recouvert de ce qu’on appelle aussi communément une tapisserie (unie, à fleur, ou à motifs géométriques), une grande déchirure en forme de trou s’ouvre sur un papier peint précédent, lui-même déchiré, faisant apparaître celui qui avait été posé avant lui, et ainsi de suite sur une dizaine de strates qui, s’enfonçant dans une profondeur «plate», nous font revivre le passé sous-jacent des goûts des habitants, des modes et des époques qui se sont succédés. Tel un feuilletage à rebours, cette traversée fantomatique dans le mur guide notre mémoire visuelle vers quelques expériences vécues. »
Bernard Muntaner